Déjà, c’est quoi (genre vraiment) le syndrome de l’imposteur ? Et bien c’est une croyance, souvent inconsciente ou secrète, de ne pas être aussi intelligent, capable, compétent ou qualifié que ce que ‘tout le monde’ pense. Quand on vit de manière intense le syndrome de l’imposteur, on a tendance à faire 3 choses :
1. Avoir la sensation d’être surestimé par nos proches, ou nos collègues.
2. Attribuer nos réussites à des facteurs externes comme la chance, le timing, l’aide etc.
3. Vivre avec la peur d’être « démasqué ».
Le souci, c’est que les croyances liées au syndrome de l’imposteur génère des émotions : anxiété, doute, culpabilité, honte, stress, peur. Un cocktail pas très appétissant, n’est-ce pas ? 🙄 Et que pour compenser, on met en place des « stratégies » (procrastination, évitement, le travail à outrance, etc).
Oui, le syndrome de l’imposteur pourri des vies et coûte cher, tant à notre développement personnel qu’à notre évolution professionnelle. Non, le syndrome de l’imposteur n’est PAS un superpouvoir.
Tu sais pourquoi je me suis formée auprès de l’experte mondiale, le Dr Valerie Young ? Parce que comme moi, elle est convaincue d’une chose : « Pour arrêter de vous sentir comme un imposteur, il faut arrêter de PENSER comme un imposteur ». Bien sur que le syndrome de l’imposteur a un lien avec la confiance en soi, ou notre enfance. Mais j’ai rencontré des gens qui avaient fait des psychothérapies, et avait toujours un syndrome de l’imposteur intense. D’autres qui avaient suffisamment confiance en eux pour suivre leur rêve mais qui avaient quand même le syndrome de l’imposteur.
Car c’est un sujet spécifique, qui demande une approche spécifique. Certifiée Impostor Syndrome – Informed Coach, et conférencière associée de l’Institut du Syndrome de l’Imposteur, j’ai développé une approche dédiée au syndrome de l’imposteur basée sur 3 pilliers : Conscientiser, reprogrammer, agir. 👇
Le problème avec le syndrome de l'imposteur, c'est qu'il est souvent vécu de manière inconsciente. On vit dans l'angoisse, et la peur, mais on ne sait pas de quoi. Ou alors, on n'ose pas en parler (sinon on serait découvert...). Conscientiser les croyances, et pensées qui alimentent notre syndrome de l'imposteur, est l'étape clé qui permet de commencer à l'apprivoiser.
Une fois conscientisé, notre syndrome de l'imposteur devient "modélisable". C'est-à-dire que l'on a la matière nécessaire pour reprogrammer notre discours interne et nos modes de fonctionnement. C'est un processus qui demande un peu de temps et d'entrainement. Mais qui est la 2nd clé pour apprivoiser son syndrome de l'imposteur.
La dernière clé pour apprivoiser son syndrome de l'imposteur ? Agir. Encore et toujours l'action. Car c'est l'unique moyen de faire la démonstration à notre cerveau qu'il est capable de fonctionner autrement. Et surtout, d'ancrer de nouvelles stratégies, plus saines et écologiques pour notre vie.
La compétence, c’est pas ce que tu crois, et c’est pour ça que tu penses être une imposture ! Découvre les 5 types du syndrome de l’imposteur.
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Allez, fais pas ton imposteur !
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